Organisations agricoles

AFBV -  Courrier AFBV envoyé aux Magasins U concernant la campagne de communication de l’enseigne supprimant des « substances controversées »

« La dissémination des gènes n’est pas propre aux plantes GM. Il en va de même pour le développement de résistances aux herbicides ou aux insecticides : celles-ci se produisent que l’on ait des plantes GM ou pas. »

http://www.biotechnologies-vegetales.com/analyse-la-campagne-de-communic...


Alain DESHAYES – Président de l’AFBV – 6ème colloque de l’AFBV

« Au delà d’une comptabilité de la réalité mondiale en matière de surfaces cultivées avec des variétés GM, […] le Constat est que l’Europe est très en retrait avec 117 000 hectares ! Quant à la France elle est aujourd’hui totalement absente puisque aucune plante GM n’y est plus cultivée. Comment en est-on arrivé là alors que notre pays se situait parmi les plus dynamiques dans ce secteur il y a 20 ans ! Depuis 1996, une forte opposition s’est en effet développée entre d’une part, les scientifiques et les ingénieurs qui promeuvent les OGM et d’autre part, les écologistes qui les refusent. »


Christiane Lambert, Vice-présidente de la FNSEA (L’Expansion - Octobre 2014)

Pour répondre aux besoins alimentaires croissants liés à l’augmentation de la population « il va falloir augmenter les rendements, c’est sûr. On peut le faire avec plus de recherches pour améliorer le potentiel de nos productions. Les OGM offrent aussi des rendements importants avec des marges supérieures car il faut moins de traitements. Certains d’entre eux résistent aussi mieux à la sécheresse et aux maladies ».


Gil Kressmann, membre de l’Académie d’agriculture de France (lors d’une table ronde sur les biotechnologies)

« Pour nourrir les neuf milliards d’habitants en 2050,  les bonnes pratiques agro-écologiques ne suffiront pas. En arboriculture, il faut 35 ans pour produire une nouvelle variété, mais 8 à 10 ans grâce aux biotechnologies. En blé, on progresse de 2 qx / an, dont la moitié grâce au progrès variétal. Demain, avec moins de chimie, la génétique devra prendre plus de poids…»


Christian Jacob, Président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, ancien ministre des PME, du Commerce, de l'Artisanat, des Professions libérales et de la Consommation, et ancien ministre de la Fonction publique - 12 février 2014

« Je défends la recherche sur les OGM. Il faut qu'on ait le courage de porter ce message et de l'expliquer. On a abandonné en France la recherche variétale. Alors que nous pourrions avoir la capacité de protéger les cultures des agressions extérieures tout en limitant les intrants. La peur des OGM fait qu'on a 20 ou 30 ans de retard en France. C'est un cadeau que nous avons offert à l'industriel américain Monsanto. Grâce à Bové et Mamère, Monsanto détient le monopole sur les OGM. Je sais, nous n'avons pas toujours dit ça. Et cette position n'est pas encore majoritaire à l'Ump, mais je me fais fort de la porter. Si nous voulons une agriculture qui réponde à ses missions avec une rentabilité en rapport, alors nous devons passer aux OGM."

Le 12/02/2014

En savoir plus sur : www.wikiagri.fr


Marcel Kuntz, biologiste, Directeur de Recherche au CNRS / (en réponse au rapport du sénateur Alain Fauconnier présentant une proposition de loi anti-OGM)

 

« La mise en cause de l’agence européenne d’évaluation des risques est une démarche irresponsable de la part d’un élu de la République, car elle nuira à l’action publique future, en cas de réel problème sanitaire dans d’autres dossiers, où il sera nécessaire de faire appel à l’expertise scientifique de cette agence et de celles des autorités scientifiques nationales ».

Le 17/02/2014

En savoir plus sur : www.enviscope.com


Luc Esprit, Directeur Général de l'Association Générale des Producteurs de Maïs

« L’utilisation du maïs OGM, résistant aux parasites que sont la pyrale et sésamie, répond à des attentes de la part de producteurs dans les zones où il y a, effectivement, une forte pression de ses parasites […]. Les zones concernées sont, en particulier, les régions Midi Pyrénées et Aquitaine où les pressions sont les plus fortes et où une variété OGM serait largement amortie. Et s’il y a une fenêtre pour semer des maïs OGM, je pense que des producteurs le feront ».

Le 17/02/2014
Pour écouter : www.francebleu.fr


Xavier Beulin, Président de la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles - Octobre 2013

Dans le cadre des discussions parlementaires sur le projet de loi d'avenir agricole, les syndicats agricoles ont été auditionnés le mercredi 27 novembre 2013 par la commission des affaires économiques de l'Assemblée nationale. A cette occasion, Xavier Beulin a regretté  l'absence d'un « principe d'innovation » dans le texte. Principe qui doit, selon lui, s'appuyer sur la reconnaissance, par les pouvoirs publics, de la capacité du monde agricole à répondre à des enjeux généraux pour la société (alimentation, emploi...).

En savoir plus sur : www.lafranceagricole.fr


Xavier Beulin, Président de la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles - Octobre 2013

« Face au changement climatique annoncé, il devient urgent d’adapter les plantes aux stress, notamment hybrique, ce qui implique les biotechnologies […]. Le refus de cultiver des PGM en France aboutit à un paradoxe difficle à gérer : nous sommes contraints pour nourrir notre bétail d’importer massivement des PGM, qui trouve son origine dans les années 70 (choix blé versus maïs/soja et absence de développement des protéagineux en France) ». En somme, Xavier Beulin déclare qu’il faut « replacer le débat sur les PGM à l’intersection des questions économiques, environnementales, sociales et de santé ».


Luc Esprit, Directeur Général de l'AGPM, Association générale des producteurs de maïs - Août 2013

« L’AGPM n’est pas pour le tout-OGM mais pour assurer  la coexistence de différents types de cultures avec des règles d'isolement entre les cultures comme c'est déjà le cas en Espagne.  »


Daniel Hofmann, de la coopérative agricole Fenaco - Juillet 2013

« Aujourd’hui, clairement, le dossier des OGM est devenu politique. Les politiques ne suivent pas l’avis des scientifiques mais se laissent guider par l’opinion publique, réticente. Qu’est ce qui peut faire évoluer le dossier ? L’arrivée sur le marché d’OGM possédant de nouveaux caractères : résistance à la sécheresse, richesse en Oméga 3… Or, pour développer de telles plantes, la recherche doit se poursuivre. Les projets engagés ne se résument pas à la transgénèse. Les biotechnologies englobent d’autres technologies. Mais en agissant ainsi, la France est entrain de se priver de l’ensemble des métiers d’amélioration des plantes»


 Philippe Gracien, directeur du Gnis - Juillet 2012

« Aujourd’hui, clairement, le dossier des OGM est devenu politique. Les politiques ne suivent pas l’avis des scientifiques mais se laissent guider par l’opinion publique, réticente. Qu’est ce qui peut faire évoluer le dossier ? L’arrivée sur le marché d’OGM possédant de nouveaux caractères : résistance à la sécheresse, richesse en Oméga 3… Or, pour développer de telles plantes, la recherche doit se poursuivre. Les projets engagés ne se résument pas à la transgénèse. Les biotechnologies englobent d’autres technologies. Mais en agissant ainsi, la France est entrain de se priver de l’ensemble des métiers d’amélioration des plantes»


 

  FNSEA (Fédération Nationale des Syndicats d'Exploitants Agricoles) - Avril 2012

« Avec le libre choix pour principe, nous croyons que la coexistence entre cultures OGM et sans OGM est possible. Des règles claires et transparentes doivent être définies pour permettre cette coexistence et les avis scientifiques sont à prendre en compte.
Nous disons aussi que le retour à une agriculture « d’avant » est utopique et pensons que les biotechnologies peuvent apporter des réponses aux nouveaux défis, en premier lieu celui de nourrir 9 milliards d’hommes et de femmes à travers le monde d’ici 2050.
Nous devons également répondre au défi environnemental et notamment celui de la gestion des ressources. Ici, la recherche est indispensable à condition qu’elle puisse s’exercer.
Par ailleurs, nous dénonçons l’hypocrisie du Gouvernement qui vise à interdire la culture d’OGM en France tout en acceptant des importations du monde entier, constituant une nouvelle distorsion de concurrence.
Enfin, nous déplorons que les accusations gratuites de nos détracteurs, relayées par certains leaders politiques aux idées extrêmes, deviennent des armes de campagne électorale, n’apportant ainsi aucune perspective d’avenir. L’agriculture n’est pas un champ de bataille, les paysans valent mieux que cela ! »


Organisations de producteurs de Maïs - Mars 2012

Les principales organisations de producteurs de maïs réagissent à la décision du gouvernement d'interdire la culture de maïs transgénique Mon 810 le 16 mars dernier.

« Cette interdiction ne repose sur aucun élément scientifique sérieux et que les producteurs de maïs impactés par la pyrale et la sésamie, subissent un réel préjudice économique », ont estimé les producteurs dans un communiqué. « Au-delà de l'événement OGM MON810, les producteurs agricoles défendent un accès non distorsif aux innovations et par conséquent, à la productivité et à la compétitivité de leurs exploitations et de leurs filières, ont-ils ajouté.

« Comme le gouvernement n'apporte aucun fait scientifique nouveau pour justifier cette deuxième mesure d'interdiction, nous avons bon espoir d'obtenir une nouvelle fois gain de cause », a expliqué au Figaro Christophe Terrain, le président de l'AGPM



Assemblée Permanente des Chambres d'Agriculture (APCA) - Mars 2011

Face à la caméra du site ogm.org, Guy Vasseur, Président de l'APCA évoque les enjeux de l'agriculture de demain et les intérêts potentiels des OGM. Quels sont, pour vous, les axes de recherche prioritaires pour l'avenir de l'agriculture en France ? Les biotechnologies peuvent-elles aider à relever les défis de l'agriculture ? Que pensez-vous de la place des OGM dans l'avenir de l'agriculture.

Guy Vasseur, président de l'Assemblée Permanente des Chambres d'Agriculture (APCA) from Sylvain Camus on Vimeo.


For

um de l'Agriculture Raisonnée Respectueuse de l'Environnement (FARRE) - Décembre 2010

Retrouvez en vidéo le point de vue de Christophe Grison, président de FARRE : Comment l'agriculture doit-elle évoluer ? Quel est le rôle des semences ? Les OGM peuvent-ils permettre de réduire l'utilisation des intrants en agriculture ?

 

Christophe Grison, Président du Forum de l'Agriculture Raisonnée Respectueuse de l'Environnement from Sylvain Camus on Vimeo.


Groupement National Interprofessionnel des Semences et plants (GNIS) - Décembre 2010

Philippe Gracien, directeur général du GNIS, répond aux questions du site ogm.org : Quel rôle des semences dans la place de leader de l'agriculture française ? L'information sur les OGM doit-elle passer par les pouvoirs publics ? Comment débloquer la situation des OGM en France ?

 

Philippe Gracien - Directeur du Groupement National Interprofessionnel des Semences et plants (GNIS) from Sylvain Camus on Vimeo.

 


 

Fédération Nationale des Syndicats d'Exploitants Agricoles (FNSEA) - 17 mai 2011

  Xavier Beulin, président

 J’ai la conviction que les biotechnologies, c’est l’avenir de l’agriculture biologique. 


 

Confédération Paysanne

Régis Hochart, porte parole

"Il n'y a pas de problème pour la recherche sur les OGM si celles-ci reste strictement confinée"


 

Fédération Nationale des Syndicats d'Exploitants Agricoles (FNSEA) - 27 mars 2011

Xavier Beulin, président

"La France est actuellement dans une situation de blocage sur les OGM"