OGM

Luc Ferry - Philosophe et ex-ministre de l'Éducation

« Il faut aussi en finir avec la suspicion absurde qui pèse de manière irréfléchie sur les OGM en général. »
(01/03/2017 – Le Figaro)

Sylvie Brunel, Géographe

« Les 800 millions de personnes qui souffrent de la faim, des ruraux pauvres, ont un besoin urgent de bonnes semences, d'une protection contre des ravageurs. Ces derniers se multiplient avec le changement climatique et la mondialisation. Il faut des aliments essentiels, comme il y a des médicaments essentiels. Les OGM font aussi l'objet d'une recherche publique et d'abandons de brevets ! » (L’Agriculteur Normand – 09/03/2017)

AFBV -  Courrier AFBV envoyé aux Magasins U concernant la campagne de communication de l’enseigne supprimant des « substances controversées »

« La dissémination des gènes n’est pas propre aux plantes GM. Il en va de même pour le développement de résistances aux herbicides ou aux insecticides : celles-ci se produisent que l’on ait des plantes GM ou pas. »

En 2015, au niveau mondial, les principales cultures de plantes génétiquement modifiées sont :


• le soja : 92,13 millions d’hectares
• le maïs : 53,65 millions d’hectares,

• le coton : 24 millions d’hectares,

• le colza : 8,64 millions d’hectares.

Source : www.isaaa.org
 

La réglementation en matière d’étiquetage

Depuis le 18 avril 2004, les denrées alimentaires et les aliments génétiquement modifiés pour animaux sont contrôlés par le règlement européen n°1829/2003. Ce règlement a mis en place une procédure communautaire unique de délivrance d’autorisation (alimentation humaine et animale).

Le dispositif de surveillance des OGM après leur commercialisation

Le dispositif de Biovigilance a été mis en place par la Loi d’orientation agricole de 1999, qui fixe le cadre de surveillance biologique du territoire. Elle permet  d’assurer la surveillance, le suivi des impacts et le contrôle des disséminations dans l’environnement des OGM commercialisés.